La médiation choc du Vatican : Trump et Zelensky main dans la main pour la paix en Ukraine !

Nouveau souffle diplomatique au Vatican

Lors d’une audience privée tenue récemment au Vatican, le pape Léon XIV a proposé au Kremlin et à Kiev une médiation papale pour relancer les pourparlers de paix. Contrairement à l’initiative précédemment pilotée par le pape François, cette offre a immédiatement reçu un accueil favorable tant à Washington qu’à Kiev. Le président Donald Trump, présent pour des commémorations religieuses, a salué une « initiative audacieuse » plongeant au cœur même du Saint-Siège, tandis que l’ambassadeur ukrainien auprès du Vatican, Andrii Yurash, a exprimé sa gratitude pour la crédibilité nouvelle de cette démarche.

Contexte et enjeux de la médiation vaticane

Depuis le déclenchement du conflit russo-ukrainien, le Vatican avait déjà tenté d’intervenir, notamment sous le pontificat de François, via une mission confiée au cardinal Matteo Maria Zuppi. Cependant, cette première tentative n’avait pas réussi à surmonter les réticences des parties en présence. Le rôle traditionnellement discret du Saint-Siège s’était heurté à un manque de confiance mutuelle et à la complexité géopolitique, notamment après l’évasion du prédécesseur de Léon XIV.

Le renouveau de cette médiation s’inscrit dans un contexte marqué par :

  • Les pressions internationales pour un cessez-le-feu durable ;
  • La détérioration de la situation humanitaire dans l’est de l’Ukraine ;
  • Les inquiétudes croissantes autour d’une guerre d’usure menaçant la stabilité européenne.

Un soutien inattendu de Trump et de Kiev

Réagissant à l’offre papale, Donald Trump, en visite officielle à Rome pour un service commémoratif, a commenté : « Le Vatican est l’endroit idéal pour renouer le dialogue, et j’apprécie l’engagement du pape et de son “frère Maga” pour la paix. » De son côté, Volodymyr Zelensky a salué l’« attention sans précédent » portée à l’Ukraine : « Le Saint-Père est un symbole d’espoir », a-t-il déclaré sur les réseaux sociaux, réclamant un format de négociation direct et concret.

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Les premières démarches diplomatiques

À peine élu, Léon XIV a rencontré en privé Volodymyr Zelensky et le vice-président américain James Vance. Les échanges ont porté sur :

  • La mise en place d’un cadre de négociations sous l’égide du Vatican ;
  • La coordination avec les instances internationales (ONU, UE) pour garantir la légitimité du processus ;
  • La création d’un groupe de travail bilatéral, incluant des représentants du Patriarcat orthodoxe de Moscou.

Car le pape sait qu’un accord durable passe aussi par un rapprochement œcuménique avec le président du Patriarcat orthodoxe, Kirill, dont la position peut influencer Vladimir Poutine.

La diplomatie vaticane en action

Le cardinal secrétaire d’État Pietro Parolin, en déplacement à New York, a reçu la distinction de la Fondation Path to Peace pour son rôle dans la diplomatie humanitaire. Il a souligné : « Notre mission est de porter un message universel de dialogue et de réconciliation, au-delà des clivages politiques. » Pendant ce temps, le pape Léon XIV a rappelé lors de sa première homélie l’urgence d’une « paix juste et durable » et a invité les États belligérants à faire preuve de « conversion et de fraternité ».

Objectif : unir forces religieuses et politiques

Le Vatican mise sur la convergence des autorités religieuses pour faciliter les pourparlers :

  • Renforcement du rôle du Patriarcat de Moscou comme relais auprès de Poutine ;
  • Mobilisation des Églises d’Orient et d’Occident pour garantir un suivi spirituel et moral du processus ;
  • Implication d’acteurs civils (ONG, mouvements de paix) pour ancrer le dialogue auprès des populations.

Cette dynamique emprunte à l’histoire de l’Église, capable de créer des « ponts » au-delà des frontières étatiques.

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Prochaines étapes et perspectives

Pour transformer cette initiative en succès concret, plusieurs jalons sont prévus :

  • L’installation d’une « Commission pour la paix » au Vatican, chargée d’élaborer des propositions de texte ;
  • La convocation d’une table ronde réunissant délégations russes et ukrainiennes, sous la supervision d’un observateur international ;
  • Une possible rencontre publique à L’Avana ou à Jérusalem, lieux symboliques de réconciliation.

Le Vatican souhaite agir vite pour éviter que la guerre ne s’enlise davantage. Le monde observe désormais si le pape Léon XIV parviendra là où ses prédécesseurs ont buté, en jouant de ses liens spirituels, diplomatiques et historiques pour ouvrir une voie vers une paix durable.

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